"cohérence"
Pour chaque être, connaître sa juste place, c'est se connaître soi-même. Pour que soit préservé cet ordre, la politesse envers le Maître, l'attitude correcte envers les sempaï, l'étiquette juste envers les kohaï et dohaï doivent être observées. —N. Tamura sensei professeur d'Alain Peyrache
Pour chaque être, connaître sa juste place, c'est se connaître soi-même. Pour que soit préservé cet ordre, la politesse envers le Maître, l'attitude correcte envers les sempaï, l'étiquette juste envers les kohaï et dohaï doivent être observées.
Quelques citations de karaté ou judo traditionnel avant que ceux ci fonctionnent en fédérations sportives. Cela démontre à quel point l'esprit des arts martiaux étaient identiques et à quel point transformer un art martial en sport martial dénature complètement, radicalement, définitivemen un art martial celui-ci est perdu à jamais. Loin d'être un progrès c'est un crime culturel.
Cela oblige ceux qui continuent la voie traditionnel de l'art martial à ajouter à leur pratique "traditionnel" pour ne pas être confondu avec les pratiques sportives qui font n'importent quoi et exactement l'opposé mais qui n'ont pas eu l'honnêteté de changer de nom... Le sans gène et le manque d'éducation du sportif, mais n'est il pas formé dès le plus jeune âge à battre son vis à vis, développer son agressivité pour être le plus fort... Pourquoi s'étonner aujourd'hui de l'agressivité en toute occasion des gens ne récoltons nous pas ce que le sports à semer ? Quand vous passer vos loisirs à être agressif vouloir battre les autres et en politique ne pas respecter l'avis d'autrui on a notre époque actuelle.. Les fameuses vertus du sport.
Pour citer JL Jazarin (école kodokan) lui aussi conscient de ce qui précède ... ...Mais la voie sportive de sélection comparative et publique, le culte du champion, conduisent inéluctablement à l’oubli du but fondamental, à la passion vulgaire et à la déchéance de l’idéal originel.
...Mais la voie sportive de sélection comparative et publique, le culte du champion, conduisent inéluctablement à l’oubli du but fondamental, à la passion vulgaire et à la déchéance de l’idéal originel.
L’absence de spiritualité vraie condamne les arts martiaux externes à une lente mais certaine perte d’intérêt dans la société à venir. Du moins dans la majorité des Dojo actuels, où l’exploitation éhontée de la naïveté des gens a atteint des limites extrêmes. J’ai, quant à moi, toujours affirmé que les arts martiaux, s’ils se réfèrent à une Tradition authentique, c’est-à-dire ancienne et véritable, font partie d’un patrimoine culturel universel. — Roland Habersetzer (karaté traditionnel)
L’absence de spiritualité vraie condamne les arts martiaux externes à une lente mais certaine perte d’intérêt dans la société à venir. Du moins dans la majorité des Dojo actuels, où l’exploitation éhontée de la naïveté des gens a atteint des limites extrêmes. J’ai, quant à moi, toujours affirmé que les arts martiaux, s’ils se réfèrent à une Tradition authentique, c’est-à-dire ancienne et véritable, font partie d’un patrimoine culturel universel.
Comment je fais lorsque... ?
Il est impossible de pratiquer le Budo dans un dojo où le débutant montera tranquillement sur le tapis sans même s'être présenté au professeur et où les anciens laissent faire comme si cela ne les regardait pas. Un débutant isolé, sans partenaires, au bord du tapis est la preuve que l'éducation des anciens du dojo n'a pas été faite. —N. Tamura sensei professeur d'Alain Peyrache
Il est impossible de pratiquer le Budo dans un dojo où le débutant montera tranquillement sur le tapis sans même s'être présenté au professeur et où les anciens laissent faire comme si cela ne les regardait pas. Un débutant isolé, sans partenaires, au bord du tapis est la preuve que l'éducation des anciens du dojo n'a pas été faite.
Un principe qui n'est absolument pas naturel, ni culturel donc pas évident pour un occidental
Dojo
«... C’est au cours de cette période ( XVIIème siècle japonais ) que Yamaga Soko formula le Bushido ou « voie du guerrier ». Parler de code à son sujet serait impropre. Précepte conviendrait mieux. Un code implique des règles figées, alors que le do, la « voie » est une éthique vivante, une école permanente de comportement. Par quel cheminement un code moral est-il devenu le complément inséparable, des techniques d’un art martial ? Pour répondre à cette question peut-être devrait-on dire : comment un code moral issu de la pratique d’un art martial est-il devenu un objectif et même une finalité qui s’apprend justement par la pratique d’un art martial ? Ainsi formulée la question porte en elle-même la réponse. — JL Jazarin (école kodokan)
«... C’est au cours de cette période ( XVIIème siècle japonais ) que Yamaga Soko formula le Bushido ou « voie du guerrier ». Parler de code à son sujet serait impropre. Précepte conviendrait mieux. Un code implique des règles figées, alors que le do, la « voie » est une éthique vivante, une école permanente de comportement.
Par quel cheminement un code moral est-il devenu le complément inséparable, des techniques d’un art martial ?
Pour répondre à cette question peut-être devrait-on dire : comment un code moral issu de la pratique d’un art martial est-il devenu un objectif et même une finalité qui s’apprend justement par la pratique d’un art martial ? Ainsi formulée la question porte en elle-même la réponse.
« Dans le bujutsu (techniques guerrières) il y a les cris : ei-ya-to-ha etc. Ce ne sont pas seulement ces quatre cris ; il y a autant de cris que de mots que les Japonais peuvent sortir. L'important est qu'avec la respiration du ciel et de la terre, la voix, le cœur (kokoro) et le rythme s'unifient ; cela devient le kototama ; ce dernier devient une arme qui sort et de plus cela doit s'unifier avec le corps. On coupe avec le son ei — on reçoit avec le son ya — on s'écarte avec le son to. »
Les huit vibrations motrices se synchronisent avec les phénomènes de l’univers a priori, saisissant le rythme de la vie sous forme de dimensions distinctes, saisissant l’univers en son de voyelles UAOE , les dimensions des sons de la mère. L'énergie de la dimension U a priori se manifeste par le rythme de vie d'une capacité a posteriori et ce rythme de vie, en tant que son, est double U ou WU . C'est le rythme de vie fondamental des capacités de nos cinq sens physiques. De même, a priori, une dimension se manifeste par le son WA ; WA est le rythme source de la capacité d’action spirituelle a posteriori. La dimension O devient WO , la capacité de stockage ou de mémoire, l'intelligence et la connaissance de l'être a posteriori. E se manifeste par WE , la capacité de jugement. * Sans le miroir du principe de Kototama, il est presque impossible de reconnaître les quatre dimensions distinctes du soi. Nous les mélangeons et agissons par désir, sans savoir quel désir, c’est-à-dire de quelle dimension de nous nos désirs découlent. Et nous ne pouvons jamais découvrir l’existence de notre substance, moi , l’énergie qui nous donne ces dimensions avec leurs capacités et leurs désirs différents.
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