Il y a dans le monde martial : 3 catégories

Les arts martiaux dont l’objectif est la guerre : leurs noms finissent par jitsu, ryu.
Sauf pour les plus modernes (inventions occidentales) comme close combat pour les armées anglaises, américaines et françaises, ou encore le Krav Maga (inventé par un professeur d’aïkido) pour l’armée israélienne.

Exemples de formes de close combat

• Sanda Militaire (influence chinoise)
• SytémA et sambo militaire (influence russe Samoz)
• Le Krav maga novembre 1964…
• MMA les gladiateurs du 20ème siècle synthèse de boxe pieds-poings et de lutte
• Une philosophie ?

Créé pour la guerre contrairement aux sports de combat. Un melting pot de sports martiaux : judo , karaté, boxe etc…

Pour les commandos de l’armée

hyper entrainés physiquement : pas de vieux ni de femmes ou d’enfants.

Formation courte

puisqu’un stage commando est d’une semaine

Il se caractérise

par un amalgame de techniques létales, ou tout au moins incapacitantes le plus vite possible, le plus efficacement possible et par tous les moyens possibles (mains nues, armes, objets divers utilisés comme armes). Le close combat est par nature extrêmement violent au regard des critères de jugements « normaux », car il est prévu pour fonctionner dans un cadre qui n’est lui-même plus « normal » (combat à mort).

Un ensemble ouvert

capable d’intégrer tout ce qui est capable d’en améliorer l’efficacité. Tout et n’importe quoi d’ailleurs selon le délire du formateur et de ses croyances. Il s’oppose également en ce point aux arts martiaux traditionnels puisque le n’importe quoi est de règle si cela semble efficace.

Donc aucun intérêt pour les pratiquants d’arts martiaux

Où l'on cherche l'inverse le n'importe quoi n'est pas admis on ne pollue pas son arts avec des délires inspirés par des inconnus : le minimum martial...

On y trouvent tous ceux qui n'ont jamais réussit dans une pratique martiale

Ceux qui ont trainé de partout sans jamais accrocher à rien car cela exige trop d'efforts

Le n'importe quoi leur va très bien

Tout ce système repose sur le fait

où l’on cherche l’inverse. Le n’importe quoi n’est pas admis : on ne pollue pas son art avec des délires inspirés par des inconnus : le minimum martial… On y trouve alors tous ceux qui n’ont jamais réussi dans une pratique martiale, ceux qui ont « trainé » de partout sans jamais accrocher à rien car cela exige trop d’efforts. Le n’importe quoi leur va très bien.

Tout ce système repose sur le fait

que cela n’a jamais été testé en situation militaire. Cette formation ne fait plus partie des close-combats du fait de la « guerre technologique » : de plus en plus de joystick… L’armée n’a qu’un désir éloigner le combattant des zones de combat.

Dangereux

par l’incompétence des formateurs, qui détruisent sans être capable de gérer leur dégâts, inconscient de ceux qu’ils peuvent faire. L’armée n’est pas destinée par nature à l’épanouissement de l’homme… C’est en revanche l’objectif des arts martiaux qui eux demandent une réelle formation exigeante. Ceux qui ne peuvent pas s’adapter à cette rigueur, n’ont pas de réelle compétence martiale et assouvissent leurs délires dans ce genre de pratiques.

Il manque plusieurs pièces au puzzle :

pas de prévention ni de préparation physique et mentale, pas d’adaptation des techniques c’est tout ou rien. On a parfois des situations avec des femmes ou des personnes âgées ou même des enfants et le close n’est pas adapté à ce type d’agresseurs. Pas non plus de méthodes post-traumatiques pour gérer le stress de l’agression ni de secourisme adapté…

Pour conclure

c’est un bon système pour les militaires mais incomplet pour les autres corps de métiers de la sécurité et les civiles…