Pourquoi choisir l’aïkido traditionnel et pas un sport ?
Pourquoi traditionnel ? et pas simplement aïkido ?
Hotou un symbole traditionnel

du fondateur de l'aïkido à Alain Peyrache sensei
Pourquoi ont-ils choisi l’aïkido traditionnel et pas un sport ?
- Dans un monde où le sport est souvent synonyme de compétition, de performance et de résultats, de plus en plus de personnes font le choix de l’aïkido traditionnel.
- Mais pourquoi cet art martial attire-t-il autant ceux qui cherchent autre chose qu’un simple sport ?
1. L’aïkido traditionnel : un art, pas une compétition
- L’aïkido traditionnel se distingue par son approche non compétitive.
- Ici, pas de médailles, pas de podiums, mais une recherche personnelle et collective du progrès.
-
Les pratiquants viennent pour apprendre, partager et évoluer, sans pression de gagner ou
de
perdre.
Cette philosophie attire ceux qui souhaitent se dépasser sans se comparer aux autres.
Car on ne peut comparer que ce qui est semblable alors que nous humains nous sommes tous différents et c'est ce qui fait la richesse de l'humanité - 2. Un bienfait pour le corps et l’esprit
- Contrairement à de nombreux sports qui sollicitent intensément certaines parties du corps, l’aïkido traditionnel propose un travail global, respectueux des capacités de chacun. Les mouvements fluides, la respiration et la concentration favorisent la santé physique, la souplesse et l’équilibre, tout en développant la maîtrise de soi et la sérénité.
- 3. Lutter contre la sédentarité, à tout âge
- L’aïkido traditionnel est accessible dès 8 ans et sans limite d’âge. Il offre une alternative idéale pour lutter contre la sédentarité, en proposant une activité adaptée à tous, quels que soient la condition physique ou l’expérience. Les cours sont conçus pour permettre à chacun de progresser à son rythme, dans le respect de son corps.
- 4. Une transmission authentique
- Choisir l’aïkido traditionnel, c’est aussi choisir un enseignement fidèle à l’esprit du fondateur, Morihei Ueshiba. Les pratiquants recherchent une transmission directe, non déformée par les exigences du sport moderne. Ils viennent pour découvrir un art martial universel, ouvert à tous, et porteur de valeurs profondes.
- 5. Un art martial pour la vie
- L’aïkido traditionnel n’est pas une activité passagère, mais un chemin de vie. Il accompagne ses pratiquants dans leur développement personnel, leur apporte confiance, respect et ouverture d’esprit. C’est une pratique qui s’inscrit dans la durée, loin des modes et des tendances sportives.
- En résumé :
- Ceux qui choisissent l’aïkido traditionnel recherchent bien plus qu’une activité physique. Ils veulent découvrir un art, s’épanouir, et partager des valeurs humaines fortes. L’aïkido traditionnel est une invitation à vivre pleinement, à tout âge, dans le respect de soi et des autres.
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O Senseï doit-il rester la référence ?
L’Aïkido est la création d’O Senseï ! Les Shin Aïkido (nouvel Aïkido), Tamura ryu (école Tamura) ou autre n’ont pas lieu d’être.
L’Aïkido c’est l’Aïkido. Le travail consiste à trouver comment faire pour arriver au niveau de pratique d’O Senseï.
Vous êtes l'élèves de quel maitre ?
La réponse vous indique votre place

Alain Peyrache sensei fidèle à l'enseignement du fondateur de l'aïkido
« Vous êtes l’élève de quel maître ? » : La question qui révèle
l’âme de l’aïkido traditionnel
- Pourquoi cette question ?
- Au Japon, lorsqu’on annonce pratiquer un art martial, surtout un art traditionnel comme l’aïkido, la question « Vous êtes l’élève de quel maître ? » n’est jamais anodine. Même si votre interlocuteur ne pratique aucun art martial, il sait que cette question touche à l’essence même de la transmission martiale japonaise.
- En effet, dans la culture japonaise, l’art martial n’est pas seulement une technique, mais une voie (dō) qui se transmet de maître à élève, de génération en génération. La filiation (ryūha) est cruciale : elle détermine la légitimité, le style, et même la philosophie du pratiquant. Poser cette question, c’est s’enquérir de votre héritage, de votre engagement, et de la qualité de votre pratique.
- Que répondre ?
- La réponse ne se limite pas à citer un nom. Elle doit refléter votre compréhension de la tradition, de votre place dans la lignée, et de votre relation à l’aïkido.
- 1. Nommer son maître avec respect
- Commencez par nommer votre maître en utilisant son titre (shihan, sensei, etc.) et son nom complet, suivi de son dojo ou de son organisation. Par exemple : « Je suis l’élève de Yamada Yoshimitsu Shihan, 8e dan, du New York Aikikai. » Si vous avez plusieurs maîtres, mentionnez celui qui a eu l’influence la plus profonde sur votre pratique.
- 2. Expliquer la lignée
- Si votre interlocuteur montre de l’intérêt, vous pouvez ajouter : « Il est lui-même disciple direct de Kisshomaru Ueshiba, fils du fondateur de l’aïkido, Morihei Ueshiba. » Cela montre que vous connaissez l’histoire de votre art et que vous vous inscrivez dans une tradition vivante.
- 3. Parler de l’esprit de la transmission
- L’aïkido traditionnel n’est pas une simple accumulation de techniques. C’est une voie de développement personnel et spirituel. Vous pouvez évoquer ce que votre maître vous a appris au-delà des mouvements : « Mon maître insiste sur l’importance du kokyu (respiration), de la connexion avec le partenaire, et de la non-violence dans la pratique. »
- 4. Montrer son engagement
- Si vous avez voyagé pour étudier, participé à des stages, ou reçu des grades, mentionnez-le brièvement : « J’ai eu la chance de m’entraîner au Hombu Dojo à Tokyo, ce qui a renforcé ma compréhension de l’aïkido tel que le fondateur l’a conçu. »
- Pourquoi cette réponse compte-t-elle ?
- Pour un Japonais, même non-pratiquant, votre réponse révèle plusieurs choses :
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- Votre sérieux : Si vous connaissez votre lignée, c’est que vous ne pratiquez pas à la légère.
- Votre respect : En honorant votre maître, vous montrez que vous comprenez les valeurs de l’aïkido.
- Votre ouverture : En partageant ces informations, vous invitez à un échange plus profond sur la culture martiale japonaise.
- Et si on ne connaît pas bien son maître ?
- Si vous débutez ou si vous n’avez pas encore de lien fort avec un maître, soyez honnête : « Je pratique depuis peu, mais je m’entraîne sous la direction de [nom du sensei] au dojo [nom]. Je découvre encore la profondeur de l’aïkido. » Cela montre humilité et sincérité, deux qualités très appréciées dans la culture japonaise.
- Conclusion : Une question, une porte ouverte
- « Vous êtes l’élève de quel maître ? » n’est pas une simple question de curiosité. C’est une invitation à partager ce qui fait la richesse de votre pratique, et à honorer ceux qui vous ont transmis cet art. En y répondant avec respect et profondeur, vous ne parlez pas seulement d’aïkido : vous parlez de vous, de votre chemin, et de ce qui vous relie à une tradition millénaire.